mardi 12 mai 2015

Travaux et découvertes ce dimanche

Plantation de quelques bambous :


Phyllostachys dulcis
Phyllostachys nuda
Pleioblastus argenteostriatus f. Kimmei
Pleioblastus pumilus
Sasa kurilensis 'Shimofuri'

Phyllostachys humilis  (merci Cédric)







Plantation de quelques arbustres, Cotoneaster lacteus, Eleagnus ebengei, Physocarpus opulifolius angel gold...

Découverte de bambous qui turionnent.

Phyllostachys bissetii




Phyllostachys bambusoides f. Lacrima-deae


Phyllostachys edulis f. Tao Kiang


Phyllostachys aureosulcata 'Spectabilis cv 'Lama Temple''


mardi 5 mai 2015

La diversité des bambous ...

... j'entend parfois dire ils sont tous pareil ...


... ouvrez les yeux.


























Pour en découvrir d'avantages c'est par ici :


https://www.flickr.com/photos/xavier_claise/sets/72157651969529748

Le Salvador bannit le Roundup de Monsanto et connaît des récoltes records.

Une information glanée sur internet (qu'il faudrait vérifier)

Le Salvador bannit le Roundup de Monsanto et connaît des récoltes records.

SOURCE : http://www.bioalaune.com/fr/actualite-b ... es-records

Le Salvador a tourné le dos aux grandes multinationales semencières et aux phytosanitaires pour favoriser la culture de graines locales. Depuis, le système agricole du pays aurait gagné en durabilité et en productivité.

En septembre 2013, le Salvador votait l’interdiction de 53 produits phytosanitaires à usage agricole. Parmi eux, ce grand pays producteur de café, coton, maïs et canne à sucre retirait du marché le Roundup (glyphosate), désherbant vedette de Monsanto, récemment classé “cancérogène probable” par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).

Pour protéger le patrimoine semencier salvadorien et assurer la production agricole, le gouvernement de l’ancien président Mauricio Funes lançait en 2011 le Plan pour l’agriculture familiale (FAP). À destination de quelque 400 000 familles d’exploitants, ce plan visait à revaloriser les semences locales et émanciper les petits producteurs des industriels des biotechnologies et de leurs OGM.

En crise, le système agricole était majoritairement dépendant des semences hybrides commercialisées par Monsanto, Pioneer et consort. Avant la mise en œuvre du FAP, 75 % du maïs et 85 % des haricots étaient importés selon le site d’information The Seattle Globalist. Et les plantes cultivées sur le territoire étaient majoritairement issues de graines OGM stériles, non adaptées aux territoires et à leurs particularités, forçant le recours aux intrants chimiques. Réaffirmant sa souveraineté alimentaire, le gouvernement a donc décidé de rompre avec les industries semencières internationales pour favoriser les graines locales.

L’État a alors investit plus de 18 millions de dollars afin de livrer 400 000 exploitants en maïs H-59, développé par le Centre national de la technologie agricole et forestière (CENTA). Le maïs présente l’avantage d’être une variété locale, mieux adaptée aux terres salvadoriennes et plus résistantes à la sécheresse.

Selon le site Natural Society, l’agriculture du Salvador serait en pleine expansion. Le pays aurait connu des récoltes records depuis qu’il a banni certains phytosanitaires.
Si le Salvador s’est détourné des grands groupes internationaux spécialisés dans les biotechnologies, des questions demeurent quant à la pérennité du Plan agricole du pays. Car le maïs H-59, bien que produit localement, est une variété hybride. Il a beau être mieux adapté au territoire du Salvador et nécessiter l’usage de moins d’intrant, il n’en est pas moins stérile.

Mise à jour : Suite à de nouvelles informations, l'article a été modifié le 22 avril 2015. La rédaction remercie Pierre-Alexis Rigaudière pour son éclairage et ses sources.